Annexe 13 – La date de la venue du Messie selon Daniel 9-25 Ecrit le 10/06/2019
Quelqu’un dira trop rapidement : « Jésus lui‐même n’a jamais fixé aucune date pour son retour. »
Cependant, La PAROLE de DIEU en Daniel 9-25, faite chair en la personne de JESUS, annonce une date très précise pour le Retour en Gloire du Seigneur, Le Messie d’Israël :
Daniel 9-25 Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines (version L. Segond)
Daniel 9-25 Tu sauras donc, et tu entendras, que depuis la sortie de la parole [portant] qu'on [s'en] retourne, et qu'on rebâtisse Jérusalem, jusqu'au CHRIST le Conducteur, il y a sept semaines (version D. Martin)
Daniel 9-25 Et sache, et comprends : Depuis la sortie de la parole pour rétablir et rebâtir Jérusalem, jusqu'au Messie, le prince, il y a sept semaines (version J.N. Darby)
Daniel 9-25 Know therefore and understand, that from the going forth of the commandment to restore and to build Jerusalem unto the Messiah the Prince shall be seven weeks (King James version)
Daniel 9-25 Know therefore and discern, that from the going forth of the commandment to restore and to build Jerusalem to the Anointed One, the prince, shall be seven weeks (World English Bible version)
Daniel 9-25 …depuis la sortie de la parole pour faire retourner et bâtir Ieroushalaîm (version A. Chouraqui)
Faire retourner ou revenir Jérusalem sous l'autorité d'Israël, puis rebâtir.
Ainsi, après le retour sous l’autorité d’Israël en 1967 de la totalité de Jérusalem, l’autorité compétente israélienne, a un jour donné son accord et annoncé le début de la reconstruction de la Vieille Ville de Jérusalem.
A partir de ce jour mémorable, après 7 semaines d’année, Le Messie d’Israël se manifestera par Sa Venue Glorieuse.
Que sont sept semaines du Temps de Dieu à la Fin des Temps : 7 x 7 x 360 jours = 17640 jours
Ou7 x 7 x 365.2563 jours = 17897.56 jours
Voici ci-dessous les dates trouvées sur Internet avec leurs références dans les chapitres du livre.
D’après les dates du Grand signe on en déduit
Voir explication détaillée des calculs ci-après.
Est le jour de la décision de reconstruction de la vieille Jérusalem, quand viendra donc le Messie attendu par le Peuple Juif ? Sa parole est sans équivoque :
A partir de ce jour mémorable, après 7 semaines d’année, Le Messie d’Israël se manifesterait par Sa Venue Glorieuse.
Si 7 semaines du Temps de Dieu à la Fin des Temps : 7 x 7 x 360 jours = 17640 jours
Le Messie d’Israël viendrait donc en Gloire le : 8 Juillet 1977 + 17640 jours => 24 Octobre 2025
Ou
Si 7 semaines du Temps de Dieu à la Fin des Temps : 7 x 7 x 365.2563 jours = 17897.56 jours
Le Messie d’Israël viendrait donc en Gloire le : 8 Juillet 1977 + 17897.5 jours => 8 Juillet 2026
Est aussi le jour de la décision de reconstruction de la vieille Jérusalem, quand viendra donc le Messie attendu par le Peuple Juif ? Sa parole est sans équivoque :
A partir de ce jour mémorable, après 7 semaines d’année, Le Messie d’Israël se manifesterait par Sa Venue Glorieuse.
Si 7 semaines du Temps de Dieu à la Fin des Temps : 7 x 7 x 360 jours = 17640 jours
Le Messie d’Israël viendrait donc en Gloire le : 30 Juillet 1980 + 17640 jours => 15 Novembre 2028
Ou
Si 7 semaines du Temps de Dieu à la Fin des Temps : 7 x 7 x 365.2563 jours = 17897.56 jours
Le Messie d’Israël viendrait donc en Gloire le : 30 Juillet 1980 + 17897.5 jours => 30 Juillet 2029
Si le 24 Octobre 2025 est le jour La Venue en Gloire du Messie pour Israël,
Jésus viendra donc enlever Son Epouse l’Eglise le : 24 Octobre 2025 – 2 x 1260 = 2520 jours => 30 Nov 2018
Ou
Si le 8 Juillet 2026 est le jour La Venue en Gloire du Messie pour Israël,
Jésus viendra donc enlever Son Epouse l’Eglise le : 8 Juillet 2026 – 2 x 1260 = 2520 jours => 14 Aout 2019
ou 8 Juillet 2026 –1260-1290 = 2550 jours => 15 Juillet 2019
ou 8 Juillet 2026 –1260-1335 = 2595 jours => 31 Mai 2019
Ou
Si le 15 Novembre 2028 est le jour La Venue en Gloire du Messie pour Israël,
Jésus viendra donc enlever Son Epouse l’Eglise le : 15 Nov. 2028 – 2x1260 = 2520 jours => 22 Décembre 2021
Ou
Si le 30 Juillet 2029 est le jour La Venue en Gloire du Messie pour Israël,
Jésus viendra donc enlever Son Epouse l’Eglise le : 30 Juillet 2029 – 2 x 1260 = 2520 jours => 5 Septembre 2022
ou 30 Juillet 2026 –1260-1290 = 2550 jours => 6 Aout 2022
ou 30 Juillet 2026 –1260-1335 = 2595 jours => 22 Juin 2022
Tant que nous ne trouverons pas le document officiel permettant le début des travaux de reconstruction de la Vielle Ville de Jérusalem, émanant de l’autorité compétente, nous ne pourrons pas nous prononcer avec exactitude.
Cependant, comme le Calendrier de Dieu est basé avec certitude sur Le Grand Signe manifesté dans le ciel par Dieu seul, l’une des dates suivantes peut très certainement être la date de ce document d’approbation pour lancer la reconstruction :
21/10/1977, 24/10/1977, 29/01/1978, 01/02/1978, 21/04/1978, 24/04/1978, 30/07/1978, 02/08/1978
Dates calculées avec 49 x 365.25 jours Dates calculées avec 49 x 360 jours
(Les 2 dates soulignées sont les plus plausibles)
Nous sommes très intéressé par la présentation d’un tel document.
Etonnement, cette date ne semble pas aisée à mettre en évidence, même par des personnalités très en relation avec la question de la reconstruction de la vieille ville. Cette date de l’autorisation de reconstruction est La Date donnée par Le Seigneur à Son Peuple d’Israël pour La Venue de Son Messie. Est-ce en relation avec l’état d’esprit actuel du Peuple d’Israël ? OUI je le pense; tant que les frères de Joseph ne se sont pas repentis du mal commis vis-à-vis de leur jeune frère, préféré de leur père Jacob, Joseph ne s’est pas révélé à eux.
Zacharie 12-9 En ce jour-là, Je m'efforcerai de détruire toutes les nations Qui viendront contre Jérusalem.
10 Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers Moi, Celui qu'ils ont percé. Ils pleureront sur Lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur Lui comme on pleure sur un premier-né.
5-1 Recherche sur Google des mots : old Jerusalem construction december 1970
https://placesjournal.org/article/lewis-mumford-on-the-plan-for-jerusalem/?cn-reloaded=1
livre : Mémorandum sur le plan de Jérusalem de Alona NITZAN-SHIFTAN
Référence est faite au livre : Seizing Jerusalem: The Architectures of Unilateral Unification - Chapters 4 and 5. Un livre de Alona Nitzan-shiftan – Architecte/Professeur en Israël.
Concernant la date à laquelle l’autorité compétente de Jérusalem a pris la décision de la reconstruction de la vieille ville de Jérusalem reconquise en 1967, on peut résumer les réponses que donne ce livre :
Voici un RESUME du LIVRE Seizing Jerusalem de Alona Nitzan-shiftan, concernant notre préoccupation:
La difficulté architecturale résumée : La planification de reconstruction de Jérusalem a été affectée par une discipline architecturale et une politique en constante évolution après 1967.
Un Comité pour Jérusalem a été créé en 1969 pour superviser l’unification israélienne de Jérusalem.
De même un sous-comité à l’urbanisme a été créé et s’est réuni la première fois en décembre 1970
pour examiner la planification urbaine de Jérusalem.
En temps voulu, le Maire de Jérusalem - Mr Teddy KOLLEK a engagé certains de ses joueurs dans son système de planification municipale. Yaakov DASH, le talentueux chef de la Division de la planification du Ministère, avait travaillé avec Henri KENDALL sur le dernier plan directeur britannique pour Jérusalem et était dévoué à ses idées. Eliezer BRUTZKUS, responsable de la planification en Israël, faisait partie de l'équipe du plan directeur moderniste israélien le plus respectueuse de l'environnement de 1951.
Le 21 juin 1967, BRUTZKUS et DASH déclarèrent leur ambition de préparer le "schéma directeur" pour Jérusalem et exposèrent leur coalition souhaitée pour la tâche la plus importante consistant à façonner la vieille ville ...
Armés de leur vision concrète et de leurs documents de conception, DASH et BRUTZKUS étaient déterminés à prendre le contrôle de la planification du bassin historique. L'histoire prouve leur grand succès. Finalement, leur plan visionnaire a permis au ministère de l'Intérieur de contrôler l'un des outils les plus puissants pour façonner Jérusalem: le "schéma directeur" pour la Vieille Ville et Ses Environs, connu sous le nom de "ayin mem 9", un document juridique contraignant dirigeant la forme du bassin sacré.
L’équipe a travaillé à plein temps sur le «schéma directeur» de la fin de 1968 jusqu’à ce qu’il soit soumis au Sous-Comité en décembre 1970. Il faudra encore six ans avant que le programme soit approuvé par le Gouvernement National.
Dès le départ, le Comité pour Jérusalem était un acte politique. Il s’agissait d’une initiative internationale du Maire KOLLEK, qui a tenté de transcender les limites de son pouvoir politique en invitant, à l’été de 1969, 70 personnalités du monde entier pour superviser l’unification israélienne de Jérusalem. Dans le but de commenter et de conseiller sur l'avenir de la ville, sans aucun pouvoir politique officiel. KOLLEK a assuré à ces hommes et femmes que « le problème n’est pas le nôtre, en tant que résidents de la ville ; cela appartient, en un sens, au monde entier, à tous ces gens qui sont Jérusalémites dans leurs cœurs et leurs esprits. » KOLLEK a heureusement rapporté qu’un seul invité avait refusé de rejoindre le comité tant que Jérusalem-Est était occupée.
KOLLEK : « Cette ville doit vivre indépendamment de la politique », a-t-il insisté. «Ce que nous voulons, ce sont des avis compétents sur l'urbanisme».
La séance plénière inaugurale du Comité pour Jérusalem, convoquée le 30 juin 1969, était bien représentée par les architectes et artistes visuels aux côtés de nombreux lauréats du prix Nobel et dignitaires des arts, des lettres et de la religion.
KOLLEK a souligné les avantages de sa politique culturelle lorsqu’il rapportait au ministre des Affaires Etrangères, Golda MEIR, sur les discussions prévues sur les « projets que nous planifions pour la ville »
KOLLEK (23 Juin 1969): Il me semble que le simple fait que de telles personnalités aient accepté de participer à ce type de Comité et soient même disposées à se rendre à Jérusalem, surtout de nos jours, alors qu’à l’ONU et en particulier à l’UNESCO, elles craignent de notre droit d’agir en ville – est extrêmement important.
Golda MEIR (en réponse le 1er Juillet 1969) a demandé en retour de « faire connaître les discussions de la conférence et ses résultats constructifs », parce que ces discussions prestigieuses « qui se sont déroulées dans le Grand Jérusalem… fournissent une réponse définitive » aux défis auxquels Israël était confronté « loin de New York ».
Les attentes de la réunion du sous-comité de décembre 1970 étaient grandes.
Convoqué 18 mois après le rassemblement initial du Comité pour Jérusalem de KOLLEK, la réunion de décembre 1970 du sous-comité à l’urbanisme était un événement assez inhabituel. Le maire KOLLEK a convaincu les 5 principaux organismes de planification israéliens de soumettre volontairement leur
à l’examen approfondi de la part des 31 examinateurs étrangers du sous-comité, originaires de 9 pays.
Par la suite, les 31 examinateurs étrangers du sous-comité ont fait savoir à KOLLEK à quel point ils étaient « impressionnés » par « la volonté de votre personnel de présenter le plan avec franchise et ouvertement, et de soumettre leurs réflexions intellectuelles à l’assaut d’étrangers ».
Le samedi 19 décembre 1970, ces 31 membres se réunirent à Jérusalem pendant 3 jours (19-20-21/12/1970) pour :
Planifier l’esprit et le caractère de Jérusalem.
Les résolutions adoptées alors par le sous-comité en décembre 1970 étaient d’une grande portée, fournissant un modèle de planification urbaine :
Ce plan a mis en valeur les principes d’ordre physique, un ensemble de directives de planification si fermes qu’elles généreront directement le plan d’une grande ville au fur et à mesure de son évolution et aussi bien ancré dans des questions fonctionnelle, sociales, économiques, émotionnelles et symboliques qu’un accord entre elles pourrait être progressivement acquis.
Concernant la Vieille Ville de Jérusalem, un agrément est ressorti de ces 3 jours de réunion en date du 19-20-21/12/1970 de la part du Sous-Comité, un schéma directeur a été déposé pour consultation publique le 24/12/1970 et (Ce qui suit est mis en italique car aucun document en notre possession ne le prouve) la Commission de Planification du District a ratifié le plan en date du 31/03/1977.
Enfin la reconstruction de la Vieille Ville de Jérusalem a pu être engagée officiellement, et dès le vendredi 1er avril 1977, les autorités compétentes de la ville étaient en mesure de lancer les travaux.
Psaume 122-3 Jérusalem, tu es bâtie comme une ville dont les parties sont liées ensemble.
Sous occupation jordanienne de 1948 à 1967, la conquête de Jérusalem-Est (environ 6 Km², à comparer à Jérusalem-Ouest : environ 40 Km²) dès le 7 juin 1967 , au cours de la Guerre des Six Jours a permis aux Israéliens de considérer que la ville était de facto réunifiée. En juin 1967, la Knesset avait déjà voté une loi relative à la nouvelle surface de Jérusalem et à la nouvelle compétence donnée à la municipalité de gérer l'ensemble de Jérusalem.
La Loi de Jérusalem traite également :
Cette décision est condamnée par les Résolutions 476 et 478 du Conseil de sécurité des Nations unies qui affirment que :
« l'adoption de la "loi fondamentale" par Israël constitue une violation du droit international et n'affecte pas la maintien en application de la Convention de Genève (...) dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis juin 1967, y compris Jérusalem »
Ce qui suit fait suite à un échange personnel de mail avec Mike TURNER :
Comme le mentionne Alona NITZAN-SHIFTAN dans son livre Mémorandum sur le plan de Jérusalem:
«Je suis également reconnaissant à Michael Turner, architecte, éducateur et fonctionnaire extraordinaire qui a partagé avec moi ses précieuses informations sur Mumford et le Comité de Jérusalem. »
Ceci est mis en italique car aucun document en notre possession ne le prouve encore:
La Commission de Planification du District a ratifié le plan en date du 31/03/1977.
Note D.C. : Enfin la reconstruction de la Vieille Ville de Jérusalem a pu être engagée officiellement, et dès le vendredi 1er avril 1977, les autorités compétentes de la ville étaient en mesure de lancer les travaux.
Le Plan directeur de la vieille ville (TPS 13538): de la planification professionnelle à l'exécution politique
http://www.ir-amim.org.il/sites/default/files/Old%20City%20Master%20Plan.pdf
Le 19 décembre 2012, le plan n ° 13538 «Conditions de délivrance de permis de construire dans la vieille ville de Jérusalem» a été évoqué devant le Comité local de la planification et de la construction de Jérusalem après sa présentation par la Jerusalem Development Authority (JDA), qui maintient l'autorité administrative sur le plan.
Le professeur Mike Turner, ancien président de l'UNESCO en Israël, a joué un rôle de conseil dans la préparation du plan, en invoquant notamment le plan directeur actuel, עמ/9 (ain mem / 9), qui ne permet pas la délivrance de permis de construire pour la vieille ville sans la soumission de plans détaillés. Étant donné que la préparation de plans détaillés dans la vieille ville est extrêmement compliquée, longue et coûteuse, il est pratiquement impossible d'obtenir un permis de construire. En fait, la plupart des nouvelles constructions dans la vieille ville au cours des dernières décennies, y compris des travaux d'infrastructure et l'aménagement d'espaces publics par la JDA et la municipalité, ont été réalisées sans permis et donc en violation de la loi. Selon l’enquête d’Ir Amim, en raison du processus fastidieux requis pour établir des plans détaillés, depuis 1974, seules six demandes de permis de construire dans le quartier musulman ont été soumises aux comités de planification.
Cinq de ceux-ci ont été soumis par des institutions ou des individus israéliens et un seul par un résident palestinien. En conséquence, il y a une prolifération de constructions sans licence réalisées en l'absence d'une planification complète, les familles palestiniennes vivant en conséquence sous le danger constant de démolitions de maisons.
5-2 Recherche sur Google des mots : Jérusalem 1967-1977
Livre : Israelizing Jerusalem - La rencontre des idéologies architecturales et nationales 1967-1977
Par Alona Nitzan-Shiftan, septembre 2002
https://www.academia.edu/30991825/Israelizing_Jerusalem_-_The_Encounter_Between_Architectural_and_National_Ideologies_1967-1977
Résumé au regard de notre questionnement:
P98: Le mandat architectural
Jérusalem-Ouest, connue en hébreu sous son nom biblique, Yerushalayim, a été construite principalement au XXe siècle dans un style architectural moderniste. En revanche, Jérusalem-Est, connue dans les Arabicas El-Quds (Le houx), était indiscutablement ancienne.
Les 2 Jérusalems avaient besoin de différentes méthodes pour gérer leurs environnements construits. Un dilemne s’est donc présentée aux planificateurs de Jérusalem. S'ils avaient adopté à Jérusalem le programme de construction moderniste israélien de l'État mis en place au cours des années de construction, ils auraient approfondi le fossé qui séparait les deux villes qu'ils ont tenté de réunir: Yerushalayim, créé à partir d '«éléments occidentalisés», et El-Quds, de l’ «Orient et spirituel». Encore plus déroutant était le besoin impérieux d'adopter cet Orient comme un «foyer» dans lequel le peuple juif devait revenir, soit après dix-neuf ans de domination jordanienne, soit, plus symboliquement, après 2000 ans d'absence exilique.
P102: Nouveaux commencements
Pendant ce temps, le ministre du Logement a décidé d'une nouvelle ligne directrice; dans l’espoir de posséder Jérusalem-Est, non seulement sur le plan territorial, mais aussi sur le plan symbolique, il a demandé aux planificateurs du Ministère de construire les nouveaux quartiers à «style oriental». Yehuda DREXLER, l'architecte responsable de Jérusalem au ministère du Logement entre 1967 et 1974, s'est chargé du défi.
5-3 Recherche sur Google des mots : November 1977 Jerusalem plan validation
Une politique de discrimination: expropriation, planification et construction de terrains à Jérusalem-Est
https://www.btselem.org/download/199505_policy_of_discrimination_eng.doc
Page 34: La réalisation du contrôle dans les deux parties de la ville apparaît à la fois dans les déclarations des décideurs politiques et dans les publications de la municipalité de Jérusalem comme l'un des objectifs majeurs de la ville en matière de planification. En 1975, le comité d'urbanisme local élabora un programme d'urbanisme complet. Le plan, qui couvrait toute la ville, a subi de nombreuses révisions; il n'a jamais été approuvé définitivement70, mais ses principes ont largement guidé la politique de planification de la ville. Présentant le plan au conseil municipal en 1977, le maire de l'époque, Kollek, a déclaré:
Ce sont des principes dont la mise en œuvre déterminera la forme de la ville jusqu'en l'an 2000. Le plan définit la forme de la zone de compétence de la ville, la localisation des quartiers résidentiels, les centres commerciaux, les institutions gouvernementales, la recherche et la culture. , et la zone industrielle et les zones ouvertes dans toute la ville. L'objectif principal du plan est d'assurer la préservation du caractère distinctif de Jérusalem en tant que capitale d'Israël, ville sainte et lieu de pèlerinage en tant que centre spirituel, ville au caractère culturel et historique particulier - et tout cela ne peut être préservé que si la ville reste unifiée sous la domination israélienne.
Il y a quelque chose de symbolique dans le fait que nous présentons le plan pour l'approbation du Conseil précisément à l'occasion du dixième anniversaire de l'unification de la ville. Nous croyons qu'en approuvant le plan, nous exprimons notre contrôle dans toute la ville et affirmons des principes pour l'intensification continue de l'unification de la ville. 72
70 Le plan a été approuvé par le comité local le 8 juillet 1977, mais le processus d'approbation a été interrompu par le comité de district.
72 Procès-verbal de la réunion du conseil municipal de Jérusalem, 6 juillet 1977, rapport 65, p. 8. (traduit par B’Tselem, notre emphase)
Page 55 : Retards dans la préparation des plans d'urbanisme
Comme mentionné, la loi oblige le comité local à préparer un SPT pour la zone de planification et à le soumettre au comité de district pour le dépôt dans les trois ans suivant sa publication. Le comité de district a ensuite un an pour approuver le rejet du plan. Cependant, dans de nombreux cas, la préparation de plans d'urbanisme pour les quartiers palestiniens a pris beaucoup plus d'années que ce que prévoit la loi, comme le montrent les exemples suivants. :
- Plan n ° 2683A - 'Arab es-Swahrah - Le processus de planification a commencé en 1979. Aucun plan approuvé à ce jour.
- Plan n ° 2317 - Beit Safafa - La procédure d’approbation a débuté en novembre 1977. Le plan a été approuvé en décembre 1990.
5-4 Recherche sur Google des mots : Government 1977 Jerusalem plan validation
https://www.mfa.gov.il/mfa/foreignpolicy/mfadocuments/yearbook3/pages/table%20of%20contents.aspx
17 août 1977, le Comité ministériel sur les colonies confirme l'approbation de trois nouvelles colonies en Cisjordanie.
Government statement on recognition of three settlements, 26 July 1977.
Le district de Jérusalem est le premier où le plan directeur du district a été approuvé en 1977, 12 ans après l’adoption de la loi sur la planification et la construction.
https://books.google.fr/books?id=A5MwDwAAQBAJ&pg=PA36&lpg=PA36&dq=Master+Plan+Jerusalem+settlement+1977&source=bl&ots=MyTgUMsE-w&sig=ACfU3U3L83W-2cqStZhIXtK3sWmRZDcQ9g&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjTtdLmpNniAhWJ1uAKHQzDAl4Q6AEwD3oECAgQAQ#v=onepage&q=Master%20Plan%20Jerusalem%20settlement%201977&f=false
5-5 Recherche sur Google des mots : Excavations 1970 Jerusalem
Fouilles dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem : première saison d'avril à novembre 1970.
https://www.jstor.org/stable/pdf/27925228.pdf?seq=1#page_scan_tab_contents
5-6 Israeli Policy, Planning and Development in the Palestinian Neighborhoods of East Jerusalem
http://bimkom.org/eng/wp-content/uploads/TrappedbyPlanning.pdf
Le premier et le plus important plan élaboré et validé à la fin de la première décennie suivant l'annexion était le plan EJ / 9 35 pour le bassin visuel de la vieille ville, qui redéfinissait le bassin visuel de la vieille ville et stipulait les possibilités d'aménagement dans la zone (EJ9: avec les initiales indiquant qu'elles étaient situées à Jérusalem-Est.) La plupart des terres incluses dans le plan EJ / 9 étaient zonées en tant qu'espaces ouverts de divers types, qui étaient tous soumis à une interdiction presque totale de construction41. Les quelques zones de développement qui apparaissent dans le plan se situent là où des villages ou des groupes d'habitations existaient déjà avant la préparation du plan.
Carte 3: Zone planifiée au cours de la première décennie 1967-1977